Revue de Presse du Lundi 25 Septembre 2017

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Le Sénégal vise un budget de 3700 milliards de francs FCFA en 2018

http://www.lejecos.com Après avoir franchi la barre des 3000 milliards de francs CFA depuis quelques années, le budget du Sénégal est en croissance chaque année. Pour 2018 ont devrait atteindre la barre des 3700 milliards de francs CFA selon Mamadou Moustapha BA, directeur général des finances.
Il a tenu ces propos lors de la 17ème session des assises économiques du Mouvement des entreprises du Sénégal (Meds). Prenant prétexte du thème des assises du Meds : «Les infrastructures sont-elles un levier de développement économique pour le Sénégal ?», Mamadou Moustapha d’indiqué que le Sénégal a injecté de beaucoup fonds dans les infrastructures, notamment routières qui permettent une meilleure activité économique. De 2012 à 2016, le gouvernement du président Macky Sall a mis 840 milliards de francs CFA dans les infrastructures. Cela fait une moyenne annuelle d’à peu près 210 milliards de francs CFA. L’argent investi a permis  la réalisation de 56 kilomètres d’autoroute, 1500 kilomètres de pistesde désenclavement, la construction de 1314 kilomètres de routes revêtues etc… Tidiane Diouf

Dakar abrite ce lundi le 3 eme forum investir en Afrique

APA Dakar (Senegal) Plus de 400 participants dont de nombreuses entreprises chinoises et africaines, prendront part du 25 au 27 septembre prochains, à Dakar, au 3ème Forum Investir en Afrique dont la cérémonie d’ouverture sera présidée par le Président Macky Sall
Organisé conjointement par le gouvernement du Sénégal, le ministère des Finances de la République populaire de Chine, la Banque chinoise de développement et le Groupe de la Banque mondiale, ce forum a pour thème  « accélérer le développement de l’Afrique par l’innovation ».
Selon ses initiateurs, l’objectif de ce forum est d’identifier des opportunités inédites de développement pour les pays africains et d’encourager un nouveau type d’investissements privés dans l’innovation et les nouvelles technologies, deux secteurs clés pour permettre à l’Afrique de réaliser son potentiel économique, et de générer une croissance accélérée et inclusive.

Les discussions porteront principalement sur six thèmes :

« (i) l’énergie ; (ii) l’agriculture et l’agrobusiness ; (iii) les technologies de l’information et de la communication (TIC) ; (iv) l’éducation ; (v) les finances ; et (vi) la gouvernance et viabilité financière ».
Le Forum marquera également le lancement officiel de l’Alliance des groupes de réflexion sur l’investissement en Afrique (IATTA), une plateforme visant à mutualiser les ressources et les efforts de production intellectuelle des centres de recherche œuvrant sur le continent, indique-t-on.
Un rapport intitulé ‘’Accélérer le développement de l’Afrique par l’innovation’’, préparé conjointement par la Banque mondiale et la Banque chinoise de développement, sera lancé officiellement en marge de la cérémonie d’ouverture du forum.

Le Forum IAF a été créé en 2015 grâce à une initiative de la Banque chinoise de développement.

Les deux premières éditions du Forum qui ont eu lieu à Addis-Ababa (en Éthiopie) et à Guangzhou (en Chine)CP/of/APA

Hausse de la dette publique-Macky Sall répond au Fmi :«Le risque n’est pas aussi important…malgré la théorie qui est faite »

http://www.dakaractu.com Les alertes des augures sur la dette africaine n’inquiètent pas le Président Macky Sall. Ce dernier croit savoir que le risque est surévalué. « En vérité, le risque est surévalué en Afrique. Le risque n’est pas aussi important qu’on le prétende. Sur la dette, les pays africains ne sont pas tellement en défaut. Malgré toute la théorie qui est faite autour de la dette sur le continent.  Même sur les projets de partenariat, le risque est très acceptable comparé à ce qui se fait ailleurs dans le monde… Il faut que le forum réfléchisse sur comment ramener le risque à sa juste proportion », a dit le chef de l’Etat ce lundi à Dakar, à l’occasion de la cérémonie d’ouverture du troisième Forum Investir en Afrique.
Pour rappel, pas plus tard que la semaine passée, le Fmi, qui a bouclé une mission au Sénégal, a alerté sur l’alourdissement de la dette publique.  Itou pour la Banque mondiale qui était parvenue aux mêmes conclusions dans un rapport publié en avril 2017.  Le Fmi a milité pour  la réduction des projets d’investissement financés sur ressources propres qui n’ont pas été évaluées par la banque intégrée de projets et une stricte limitation des financements nets du Trésor aux opérations budgétaires de l’année en cours
Macky Sall pour un changement de paradigme:«Le temps de l’Afrique ce n’est pas demain,le temps de l’Afrique c’est maintenant»

http://www.dakaractu.com La cérémonie d’ouverture du Troisième Forum Investir en Afrique, qui se tient depuis ce matin, à Dakar, en collaboration avec la Banque mondiale, a servi de tribune au chef de l’Etat qui a milité en faveur d’ « un changement de paradigme et de vision » dans les relations entre l’Afrique et le reste du monde.

« L’Afrique ne doit pas être simplement considérée comme un continent du futur. Il faut croire à un futur radieux dans un monde où il faut se battre chaque jour  et avoir sa place au soleil. Je plaide pour que l’Afrique soit considérée comme partie prenante d’un présent qui dessine les lignes du futur. Le temps de l’Afrique ce n’est pas demain, le temps de l’Afrique c’est maintenant », a déclaré le président de la République.
C’est ainsi que le Premier des Sénégalais a déploré le fait que les entreprises africaines peinent à accéder aux sources de financement. « Si nous voulons développer le partenariat public-privé, il faut que le privé international travaille avec le privé local. Le privé local n’arrive pas à lever sa part de financement. Les Etats n’ayant pas les capacités de les accompagner comme il se doit, parce que nous n’avons pas connu ces vagues de privatisations où le patrimoine a été donné à des privés. Ce qui a créé ces oligarchies ailleurs. Il nous faut travailler à accompagner le secteur privé sérieux qui est capable de valoriser cet investissement ».
«Je voudrais plaider pour le secteur privé africain… En Afrique, il y a des privés sérieux qui ont fait leurs preuves sans grands capitaux où alors qui accèdent aux financements du marché dans des conditions difficiles. Ils arrivent à faire des bénéfices et de petits empires financiers… Le secteur privé africain a besoin d’accéder à des ressources adoucies ».

L’aide publique ne peut développer l’Afrique : Quand Macky Sall parle comme “Guélewar”

http://www.dakaractu.com Le président de la République du Sénégal est d’avis que l’Afrique ne sortira de son sous développement qu’à travers les investissements et non par le biais de l’aide publique.

Macky Sall présidait la cérémonie d’ouverture de la troisième édition du Forum Investir en Afrique co-organisé par le Sénégal, la Chine et la Banque mondiale.
Qui n’a pas regardé “Guélewar” du nom de ce long métrage d’Ousmane Sembène. Dans ce film, le défunt cinéaste sénégalais mettait en exergue les relations parfois compliquées entre communautés religieuses mais il évoquait aussi la dépendance des pays africains qui se nourrissaient de l’aide publique et toute la corruption y afférent. Et dans une séquence, le héros du film, Guélewar prend la parole dans un meeting pour fustiger l’aide publique provenant des pays développés. Cette posture, le président de la République du Sénégal l’a imitée à la 3e édition du Forum Investir en Afrique dont la cérémonie d’ouverture s’est tenue ce lundi au Centre international de conférence Abdou Diouf de Diamniadio. L’édition de cette année est placée sous le thème : “Accélérer le développement de l’Afrique par l’Innovation”. Un thème qui enchante bien Macky Sall d’autant plus que pour le président Sénégalais, il porte sur l’investissement et non sur l’aide publique. “ Je suis convaincu et depuis fort longtemps que si l’aide peut accompagner l’effort de développement, elle ne peut se substituer à cet effort. Comme partout ailleurs, l’Afrique ne peut se développer par l’aide”, déclare le chef de l’État. Convaincu que le continent noir doit pouvoir sortir de l’ornière en prenant les devants, Macky Sall renseigne que c’est dans cet esprit qu’a été mis en place le Nepad (Nouveau partenariat pour le développement en Afrique) dont les priorités figurent dans le programmes de développement des infrastructures de l’Afrique. Dans ce sillage, le président Sall plaide pour les infrastructures de base qui, à ses yeux, sont indispensables pour l’émergence de l’Afrique. Et quant Macky Sall parle d’infrastructures, il privilégie les chemins de fer. “Je sais que souvent, les gens n’aiment pas parler de chemin de fer parce que ça demande beaucoup de capitaux mais il nous faut construire la connexion entre pays africains, sinon on ne peut pas développer le commerce intra africain. Il nous faut donc développer les chemins de fer africains”, plaide t il. Il est aussi en faveur du développement des infrastructures numériques. Le président du Sénégal a aussi tenu à défendre le secteur privé africain. Selon Macky Sall qui a invité les panelistes à se pencher sur le sort du secteur privé africain, celui ci doit accéder aux financements dans les mêmes conditions que les investisseurs étrangers.
A souligner que la cérémonie d’ouverture du Forum Investir en Afrique a enregistré la présence du Vice président de la Côte d’Ivoire, Daniel Kablan Duncan, du Vice ministre des Finances de la République populaire de Chine, du vice-président directeur général de la Banque Chinoise de développement et du directeur général et responsable en chef de l’administration du Groupe de la Banque mondiale.

3e Forum « Investir en Afrique »: Macky Sall appelle à la rupture et à l’action

La troisième édition du Forum Investir en Afrique s’est ouvert ce matin au Centre International de Conférence Abdou Diouf (CICAD) de Diamniadio. Macky Sall a qui a ouvert les travaux a insisté pour plus de perspicacité et d’efficacité dans les programmes et initiatives de développement. Dans son discours, il a, carrément, appelé à l’action afin d’éviter le ronronnement et les palabres constater dans des forums du genre.

« Après l’Ethiopie en 2015, la Chine en 2016, le Sénégal est tenu d’accueillir le 3eForum Investir en Afrique. C’est donc tout naturellement que nous nous retrouvons en terre Sénégalaise, pour réfléchir sur la meilleure façon de promouvoir l’investissement, stimuler les échanges,  et créer une prospérité partagée », a-t-il déclaré.
Et d’ajouter: «’’Le progrès en Afrique par l’innovation’’, c’est le thème de ce Forum. Sur le chemin de l’émergence, nous devons nous donner les moyens de transformer positivement, et durablement notre système. De toute évidence cela passe par l’innovation. C’est-à-dire un nouvel état d’esprit, qui traduit une réelle volonté de rompre avec les idées, des pratiques et des habitudes épargnées ».
Pour le Chef de l’Etat, «les pouvoirs publics en Afrique doivent également marquer la rupture. En tant qu’inspiratrice des politiques publiques, si elle n’évolue pas dans le sens de l’innovation, de transparence dans les procédures évidemment, tout ce que nous dirons restera des vœux pieux. Nous resterons de forum en forum à répéter la même chose ».
Plus de 400 participants attendus, le Forum Investir en Afrique (FIA) a été créé en 2015 en tant que plate-forme mondiale pour la coopération multilatérale et la promotion d’opportunités d’accroître les investissements en Afrique.
Il s’agit d’un rassemblement annuel de plusieurs parties prenantes, réunissant des représentants des secteurs public et privé de Chine et d’Afrique, des institutions internationales et continentales, des partenaires de développement et des think tanks pour approfondir le dialogue sur les politiques, partager des expériences et discuter des opportunités d’affaires afin de promouvoir et de soutenir les investissements et le développement durable en Afrique. Initié par la Banque chinoise de développement (BCD) avec l’approbation du gouvernement chinois, il a remporté l’adhésion du Groupe de la Banque mondiale (GBM) et de plusieurs pays africains. Ibrahima Mansaly

3éme Forum investir en Afrique:Macky Sall guide les administrations financières vers le E-government

http://www.pressafrik.com Le Président Macky Sall a invité les administrations financières à se tourner de plus en plus vers le E-government. Il l’a souligné, ce lundi à Diamniadio lors de l’ouverture du 3e forum« investir en Afrique », co-organisé par le Sénégal, la Chine et la Banque mondiale.

« Nos administrations financières doivent faire preuve d’innovation dans les procédures. Il faut adopter le E-government qui consiste à gouverner via l’électronique avec des systèmes informatisés, des politiques stables, transparentes et diligentes », a-t-il dit.
Selon le chef de l’Etat, « l’Afrique, en quête d’émergence, a des ressources et des besoins et offre des opportunités. Le risque sur les investissements en Afrique, est surévalué, malgré toutes les théories sur la dette des pays africains, doivent être ramené à sa juste valeur ».
Le président Sall a, aussi remis en cause le fait de considérer l’Afrique comme un continent d’avenir. Pour lui, croire à cela, est comme «croire à un chèque sans provisions ». « Le temps de l’Afrique, c’est maintenant », a-t-il lancé.
En présence de son Premier ministre et du ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Macky Sall a invité les secteurs privés nationaux et internationaux à travailler ensemble.Ibrahima Mansaly

Réponse du Palais aux entrepreneurs sénégalais râleurs : «il faut que le secteur privé international travaille avec le secteur privé national sérieux”

http://actusen.sn La réponse est servie. Pour les entrepreneurs sénégalais, qui se plaignent, à-tout-va, d’être laissés en rade, au profit des étrangers, dans l’attribution de marchés de grande envergure, le Chef de l’Etat, Macky Sall, a trouvé le remède. Pour que la donne change, confie-t-il, le secteur privé local doit être plus dynamique que cela.
“Il faut un secteur privé sérieux, qui fait ses preuves et qui soit accompagné par les investisseurs privés internationaux’’, a-t-il lâché une grosse pierre, dans le jardin des entrepreneurs nationaux.
A en croire le Président de a République du Sénégal, ce secteur mérite d’être “innové, en changeant le paradigme et la vision, dans le mécanisme de rapports entre partenaires”.Toutes raisons qui permettront, dira-t-il, de  “hisser le Continent au sommet du développement.Ousmane THIANE,

Macky Sall:«l’AIBD inauguré en décembre,un Port minéralier attendu à Diamnadio» 

http://actusen.sn Le doute n’est plus permis. Du moins, si on prend, pour argent comptant, les déclarations, ce lundi, du Chef de l’Etat, Macky Sall, depuis Diamnadio.
En effet, après les assurances de la Ministre des Transports aériens, Maimouna Ndoye Seck, le Président de la République, qui présidait l’ouverture des travaux du 3ème Forum “Investir en Afrique”, a soutenu que le premier avion va décoller, en décembre prochain, dans le nouvel Aéroport du Sénégal.
«L’Aéroport international Blaise Diagne va être inauguré, le 7 décembre prochain», a annoncé, avec force conviction, le Président de la République du Sénégal devant des investisseurs étrangers.
Outre cette annonce ô combien rassurante et attendue, Macky Sall a aussi révélé que le projet d’un Port minéralier à Diamnadio, avec l’aide d’un financement privé, est en gestation.Ousmane THIANE,

Macky Sall : ‘‘68 milliards de dollars US vont être décaissés, d’ici à 2020, pour financer les infrastructures numériques»

http://actusen.sn  ‘‘D’ici à 2020, nous engagerons le financement des infrastructures numériques de 68 milliards de dollars US, par le biais l’investissement public-privé’’, a annoncé le Président de la République, Macky Sall, lors du Forum Investir en Afrique qui se tient au Centre international de conférences Abdou Diouf (Cicad).
En effet, le Chef de l’Etat, soucieux du développement de l’Afrique, a insisté sur la nécessité de se consacrer sur l’émergence des infrastructures de bases, telles que le numérique, l’électricité, mais aussi de l’agriculture.
‘‘Nous devons davantage améliorer la connexion des pays africains, à travers les réseaux ferroviaires, les ponts et les routes, entre autres’’, a-t-il déclaré.
Pour cela, dit-il, il urge de ‘‘s’engager dans les E-gouvernement, pour assurer la confiance des investisseurs et des partenaires’’.
Ainsi, il a affirmé : «l’Afrique a les opportunités et les ressources nécessaires. Par conséquent, il convient de savoir comment les exploiter. Et, pour cela, il faut se lancer dans les partenariats et les aides».
Mais, a-t-il expliqué, ‘‘l’aide accompagne, uniquement, l’Afrique. Elle ne peut leadévelopper». Avant de déclarer, ouvert, le 3e Forum invertir en Afrique.Ousmane THIANE,
Bonne nouvelle, lors du 3e Forum “Investir en Afrique” : la Chine met 60 millions de dollars Us sur la table

http://actusen.sn L’annonce est du vice-ministre des Finances de la Chine. A Dakar pour le compte du 3e Forum “Investir en Afrique”, Yaobin Shi a déclaré, ce lundi, que ”la Chine va investir 60 millions de dollar US (américain), pour améliorer les investissements, dans le Continent, à travers un partenariat.
Le Président de la République du Sénégal, Macky Sall, participe, aux côtés des partenaires chinois, au lancement des travaux de discussions au Centre International de conférence Abdou Diouf (Cicad) de Diamniadio.
Par ailleurs, Yaobin Shi a manifesté le désir de la Chine d’accompagner le Continent noir à effectuer un “bond en avant”, comme ce fut le cas pour son pays, avec Mao Zedong.

Selon lui, les moyens sont là, et avec le soutien des bailleurs de fonds et de quelques 1000 Petites et moyennes entreprises chinoises installées en Afrique, ce rêve pourrait être une réalité.

”L’Afrique, en dépit de sa position éloignée en développement, pourrait, avec des efforts conjoints, en s’appropriant les moyens de technologie et en investissant dans le futur, avec l’aide des bailleurs et partenaires, brûler les étapes et effectuer un bond en avant”, a-t-il prédit.
Aussi, le ministre des Finances de la Chine a-t-il insisté sur le travail autour d’un consensus pour la “réduction de la pauvreté, le développement de l’agriculture et l’amélioration des progrès du secteur de la santé”.Ousmane THIANE

PÉKIN SOUHAITE CHEMINER AVEC L’AFRIQUE VERS LE DÉVELOPPEMENT DURABLE (OFFICIEL)

Diamniadio, 25 sept (APS) – La Chine souhaite mener des « efforts conjoints’’ avec l’Afrique en vue de parvenir à un développement durable, a déclaré, lundi à Dakar, Yaobin Shi, vice-ministre chinois des Finances

‘’Nous savons que le terrorisme, les changements climatiques, les maladies sont des difficultés. Dans ce contexte, la Chine souhaite développer avec l’Afrique des efforts conjoints pour aller vers le développement durable’’, a-t-il dit.
Le vice-ministre chinois des Finances intervenait à l’ouverture, dans la nouvelle ville de Diamniadio, près de Dakar, du troisième Forum « Investir en Afrique’’.
Ce forum de trois jours (25, 26 et 27 septembre) est organisé par le gouvernement du Sénégal, le ministère chinois des Finances, la Banque chinoise de développement et la Banque mondiale.
Le Forum s’est ouvert en présence du président Macky Sall, du vice-président ivoirien Daniel Kablan Duncan et de Shaolin Yang, directeur général et responsable en chef de l’Administration de la Banque mondiale.
Pour le vice-ministre chinois des Finances, l’investissement, le commerce, ainsi que les échanges de connaissance sont importants pour le développement durable.

Yaobin Shi a suggéré que l’Afrique et la Chine alignent leurs opportunités de développement. 

Il a plaidé pour un partage d’expériences entre la Chine et l’Afrique dans les domaines de l’environnement, de l’éducation, etc,.

‘’ Il est important de guider et coordonner les investissements en Afrique et aussi d’améliorer les bénéfices d’investissements. Il est nécessaire d’explorer les nouveaux modèles et outils’’, a plaidé le vice-ministre chinois des finances.
Il a précisé que le gouvernement chinois va continuer de soutenir l’Afrique.BHC/ASG

Oumar Sané, Dg de l’Agriculture : « Les pluies de fin de l’hivernage sont bénéfiques aux cultures »

http://www.leral.net Le monde agricole n’a rien à craindre pour ses cultures en raison des pluies de fin de l’hivernage, qui arrosent plusieurs zones du pays ces derniers temps. Selon le Directeur de l’Agriculture, cette situation n’a aucun effet négatif sur les récoltes. Oumar Sané pense que ces pluies constituent plutôt « une maturité complète » des cultures.

« Ces pluies vont permettre de finaliser le processus de maturation des cultures », a-t-il laissé entendre.
Et dans la même optique, il appelle le monde agricole à ne pas avoir des soucis. Car, «il n’y aura vraiment pas d’incidence avec les cultures ».
« Au contraire ça va permettre une maturation complète des cultures », a insisté Oumar Sané. La rédaction de leral.net

KAFFRINE:LE PASA-LOUMAKAF ESPÈRE DES RENDEMENTS RECORDS DE RIZ (COORDONNATEUR)

Ndiaye Counda (Kaffrine), 24 sept (APS) – Le projet d’appui à la sécurité alimentaire (PASA-Loumakaf) espère atteindre cette année des rendements de cinq tonnes de riz à l’hectare, dans la région de Kaffrine (centre), a annoncé, samedi, un de ses coordonnateurs, Abdou Niang Thiam.

« L’année dernière, nous avons pu obtenir des rendements de 3 tonnes de riz à l’hectare. Cette année, nous allons doubler le rendement. Nous allons [atteindre] au minimum des rendements de 5 tonnes à l’hectare », a-t-il assuré.
M. Thiam s’exprimait en marge d’une tournée de suivi de la campagne agricole entamée vendredi dans la région de Kaffrine par le gouverneur Jean Baptiste Coly.
« Au vu de la configuration de l’hivernage et à cet étape [où] le riz est à l’état d’épiaison, nous pouvons dire qu’on aura des rendements et des productions records », a encore assuré le responsable du PASA-Loumakaf qui intervient dans les régions de Louga, Matam et Kaffrine.
« Si nous avons une ou deux pluies avant la fin du mois, on peut espérer un bon rendement en riz dans la région de Kaffrine », a-t-il indiqué, assurant qu’avant la fin du mois, le marché sera bien approvisionné en « riz Ndoucoumane », en légumes et oignons grâce à son projet
Selon lui, près de 1.250 hectares en riz ont été emblavés dans huit communes de la région de Kaffrine et 56 villages ont été impactés par les activités du projet.

« Nous sommes actuellement satisfaits du déroulement de la campagne agricole. Nous avions un objectif d’environ 1.500 hectares de riz de bas-fonds. Et, aujourd’hui nous avons atteint 90% de nos objectifs », a salué Abdou Niang Thiam. 

  1. Thiam a par ailleurs indiqué que le PASA-Loumakaf est en train de mettre en œuvre la vision du ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural de faire de Kaffrine, une région agricole « au sens large du terme ».
    Dans cette perspective, a-t-il poursuivi, le projet est en train de mettre en place toute une stratégie avec la culture du riz.
    « Dans les sites de Ndiaye Counda et de Mbaye Mbaye, nous avons mis en place des ouvrages qui nous permettent de mobiliser l’eau qui va permettre aux cultures durant les pauses pluviométriques de pouvoir boucler leur cycle », a-t-il souligné.
    Le gouverneur de Kaffrine, Jean Baptiste Coly, accompagné par des autorités locales, a tour à tour visité le champ de mil de la productrice, Guèye Cissé, dans la commune de Nganda, les sites de PAFA extension.MNF/ASB

Privatisation de la Sonacos:les producteurs du Bassin arachidier mettent en garde l’Etat

http://www.leral.net La privatisation de la Sonacos semble être une option irréversible pour l’Etat. Toutefois, les producteurs alertent les autorités sur le syndrome Abass Jaber.

«Compte tenu du passé, notre pensée s’oriente directement vers Abass Jaber lorsqu’on parle de privatisation de la Sonacos. Si le second repreneur se comporte comme Jaber, les producteurs risquent de revendre leurs graines dans les marchés hebdomadaires à 100 voire 125 francs. Car, c’est sous Jabber que les paysans ont connu le phénomène des bons impayés », ont laissé entendre Ibrahima Badiane et ses camarades.
Selon eux, la différence s’est fait ressentir quand l’Etat a repris la gestion.  « Quand l’Etat a repris la gestion de la Sonacos Sa, les producteurs étaient à l’aise. On a vendu correctement nos graines à bon prix et à temps. L’année dernière, le directeur de la société a pu contractualiser avec les producteurs, en leur octroyant des engrais et des semences.  Et il avait promis de faire le même geste cette année », ont-ils souligné.
Ibrahima Badiane ne veut d’ailleurs pas de l’entreprise oléagineuse Copéol holding (ex-Novasen) pour la reprise de la Sonacos Sa. Il estime que ces Sénégalais sont incapables d’améliorer la situation des producteurs.
« Contrairement à la Sonacos Sa qui a subventionné l’année dernière les semences et l’engrais aux paysans à bas prix, la Copéol vendait à des prix beaucoup plus élevés », a dit M. Badiane. Et le Secrétaire général de l’association des producteurs du Bassin arachidier, Cheikh Tidiane Cissé, de souligner que « le monde rural risque de pâtir de la privatisation de la Sonacos Sa ».

Gros scandales à Air Sénégal:12 millions d’euros de commission pour l’achat des 02 ATR-72 600, Philippe Bohn à l’origine d’un vaste réseau de corruption (Documents)

Dakarmidi – Philippe Bohn est sur le point de faire couler Macky Sall et son régime. Cet ancien bras droit du leader de l’Unita assassiné en 2002, des fils Khadafi actuellement en bisbille avec la justice lybienne, de leur père assassiné en 2011, ou de Karim Wade épinglé pour détournement de deniers publics, fait encore parler de lui, à travers de nouvelles manigances et des dessous de table sur des ventes d’avions, et ce, au plus haut sommet de la République. Selon les enquêtes menées par Dakarmidi, Il s’agit dans ce cas précis d’un des nombreux scandales qui se dessinent à la nouvelle compagnie aérienne du Sénégal. Une surfacturation de 12 millions d’euros a été notée dans l’acquisition des deux ATR -72 600 que le Sénégal s’est procuré au nom d’Air Sénégal SA, au salon du Bourget le 20 Juin 2017, à 50 millions d’euros. Cette somme décaissée pour l’achat de ses appareils est si colossale qu’elle fait rire les différents fabricants d’avions à Turbopropulseurs. Pour preuve, dans le Business Plan produit Seabury, une compagnie londonienne, pour Air Sénégal SA, on peut lire à la page 108 que ces deux avions coûtent effectivement à l’unité 22,7 millions de dollars, soit un peu plus de 19 millions d’euros, le prix du marché ne dépassant jamais, comme révélé ci-dessus, 23 millions de dollars.

Rappelons que, dans un article de Jeune Afrique publié le 21 Juin 2017, et relayé par Dakarmidi, il était clairement indiqué que la vente s’était passée devant l’ancien Dg de la compagnie Mamadou Lamine Sow, devenu aujourd’hui son PCA, Christian Scherer, directeur général de l’avionneur franco-italien basé près de Toulouse, la ministre sénégalaise du Transport, Maimouna Ndock Seck et son homologue français, Elisabeth Borne, cette dernière qui venait fraîchement d’être nommée.
Des experts sont tous d’accords que le comportement de ces ATR -72 600 dans les airs de la sous région, ne permettra pas à Air Sénégal de rentrer rapidement dans ses fonds, bien au contraire, notre pays devait directement se lancer dans le long courrier avec des avions gros porteurs, mais hélas les choix opérés grâce aux conseils de Philippe Bohn ont poussé Macky Sall à agir vite et mal, laissant de côté de meilleures offres qui allaient rendre plus rentable et performante, la compagnie et épargner le contribuable sénégalais. Dans les jours à venir nous vous présenterons le Business Plan détaillé d’Air Sénégal SA élaboré par Seabury à plus de 03 milliards de francs Cfa et les incongruités qu’il présente dans sa conception, un document bâclé de 331 pages.

Jérôme Maillet démasqué:il vante les mérites du Q400 et descend sévèrement les ATR – 72 600 achetés par Air Sénégal SA (vidéo)

Dakarmidi – Jérôme Maillet est nouvellement recruté par Philippe Bohn pour le compte d’Air Sénégal. Cet ex Dga de Congo Airways, qui a participé au dépôt de bilan de cette compagnie vantait, il y’a quelques années les mérites et les pouvoirs exceptionnels du Q400. Qu’est-ce qui a fait qu’après quelques temps, l’homme ait pu changer d’avis ? Nos radars sont certains que le Chef de l’Etat a été induit en erreur, et sérieusement sur l’architecture d’Air Sénégal, son montage financier, son Business Plan, les choix de ses hommes et de ses appareils. Il commis une erreur, faut le reconnaître, dans sa prise de décision d’acheter des ATR – 72 600, à la place des Q400.

Pourquoi ne fallait-il pas acheter ces Q400, qui, à la différence des ATR, sont climatisés au sol, volent plus haut et plus loin.
Que se passe-t-il dans la tête de Jérôme Maillet qui est en pleine contradiction en voulant travailler avec des ATR – 72 600? Ces types d’avions qu’il avait sévèrement critiqués étant aux commandes à Congo Airways.
Regardez quand il draguait Kimpa Vita, ce Q400 que le Congo avait acquis.La rédaction

Programme « Mise à Niveau » : Il faut adapter l’offre de mise à niveau à une nouvelle cible petite et moyenne entreprise

http://www.lejecos.com Selon le directeur du BMN, M. Ibrahima Diouf, le programme de mise à niveau des entreprises est à une étape cruciale de son existence. Et qu’au-delà des acquis importants, qu’il faudra consolider, il va falloir selon Ibrahima Diouf adapter l’offre de mise à niveau à une nouvelle cible : la cible petite et moyenne entreprise.

Le Directeur du Bmn a lancé cet appel lors de la cérémonie de lancement du Numéro spécial Mise à niveau que sa structure a réalisé en partenariat avec le magazine Nouvel Horizon.
28405 emplois créés
Mais auparavant, Ibrahima Diouf  à dresser un bilan du programme de mise à niveau.  Ce programme est composé de 400 entreprises qui sont dans le processus d’éligibilité de leurs dossiers. C’est 144 dossiers d’entreprises  approuvés a dit M. Diouf. Ils sont  composés de 54 entreprises accompagnées sur un objectif de 60 durant  la phase dite pilote, de 2005 à 2010. 15 entreprises bénéficiaires du programme de restructuration et  de mise à niveau de l’UEMOA  et 75 entreprises à date sur les 200 prévues sur la phase dite de pérennisation qui est  la phase en cours. Cela représente 13081 emplois  permanents dont 1411 emplois cadres et 15324 emplois temporaires, soit un total de 28405 emplois créés par les entreprises accompagnées par le programme de mise à niveau.
17,3 milliards de primes  octroyés aux entreprises

Ces 144 entreprises accompagnées représentent 101,5 milliards d’investissements projetés dont 78,4 milliards  d’investissements approuvés. En contrepartie de ces investissements, c’est 17,3 milliards de primes qui sont octroyés  dont 10 milliards effectivement décaissés et versés au profit des entreprises bénéficiaires. 

Pour autant, estime Ibrahima Diouf, au-delà  de la consolidation nécessaire de ces acquis, il faudra réussir le déploiement de nouvelles formes d’accompagnement en adaptant mieux l’offre de mise à niveau à la cible petite et moyenne entreprise. C’est dans ce cadre qu’il faut inscrire le programme de mise à niveau spécifique dont la phase pilote a été lancée en Casamance, en octobre 2015,  du programme spécifique national et du nouveau programme développer l’emploi au Sénégal financé par le fonds fiduciaire d’urgence de l’Union européenne. La réussite de ce nouveau chantier nécessite selon Ibrahima Diouf  une bonne communication à l’endroit de l’ensemble des acteurs impliqués : Etat, secteur privé, partenaires Techniques et financiers mais aussi une bonne communication à l’endroit de l’opinion. D’ailleurs, c’est tout le sens a-t-il indiqué  de cette cérémonie consacrée entre autre à la parution du numéro spécial « Mise à niveau ». Ce numéro  a expliqué Ibrahima Diouf revient amplement sur les success-story du programme depuis son lancement officiel en février 2005 et ces histoires de réussites sont racontées par les bénéficiaires eux-mêmes.

Une approché tournée vers la satisfaction clientèle avec « Guépard » 

Poursuivant, M. Diouf d’indiquer que l’avenir du programme de mise à niveau dépend aussi en grande partie de sa capacité à continuer à répondre efficacement aux attentes des entreprises bénéficiaires. C’est pourquoi, le Bmn a déclaré Ibrahima Diouf  a développé en étroite collaboration avec l’ADIE une plateforme de dématérialisation du processus dénommé « Guépard » du nom de l’animal le plus rapide sur terre pour répondre aux exigences de célérité dans le traitement des dossiers et de transparence  que requiert une administration de développement dans un processus d’émergence.

Un réseau des entreprises bénéficiaires de la mise à niveau mis en place
Certes, l’atteinte de ces performances  dépend de la mise en œuvre des investissements matériels et immatériels qui découlent des plans de mise à niveau des entreprises mais également des synergies qui seront développées entre les entreprises. C’est pourquoi, a soutenu Ibrahima Diouf , le BMN va accompagner la mise en place  du réseau des entreprises bénéficiaires de la mise à niveau, pour en faire un véritable cadre d’échanges, de partage d’expériences, de propositions et de réflexions pour le développement des affaires et la pérennité du programme. Ismaila BA

Parution Numéro Spécial «Mise à Niveau»:La Success -Story du BMN magnifiée

http://www.lejecos.com Lors de la parution du numéro spécial « Mise à Niveau » organisé par le Bureau de mise à niveau(BMN) en partenariat avec le magazine Nouvel horizon, Augustine Niakhar Faye, Directeur de cabinet du ministre du commerce a magnifié la « Success-Story » du BMN qui a su développer des capacités de résilience et de développementSelon le directeur de cabinet du ministre du commerce, ce numéro spécial est un excellent outil de communication en ce sens qu’il permet de faire un tour d’horizon synthétique de l’accompagnement du programme de mise à niveau et surtout qu’il a donné la parole à tous les acteurs impliqués.

Réseau des entreprises bénéficiaires du programme de mise à niveau 

En marge de la parution de ce numéro spécial consacré à la mise à niveau, il a été aussi procédé au lancement du réseau des entreprises bénéficiaires du programme de mise à niveau. Et Augustin Faye d’exhorter « les chefs d’entreprises à développer les synergies nécessaires pour maintenir notre pays dans cette dynamique de croissance, qui est le fruit entre autres de l’investissement privé comme en atteste le dernier rapport du FMI ». Ce réseau  devra selon le Directeur de cabinet du ministre du commerce être le cadre de finalisation des contrats filières et aussi de sous-traitance entre les grandes et les petites entreprises.

Des défis qui attendent en dépit des performances réalisées 

Toutefois, en dépit des performances réalisées par le programme de mise   à niveau des entreprises, pour autant note le directeur de cabinet du ministre du commerce,  cela ne nous doit pas nous figer dans un satisfécit béant. Et ce dernier d’indiquer que beaucoup de défis attendent et de pointer du doigt le fait que l’on reproche souvent au BMN qu’il ne s’adresse pas aux  toutes petites et moyennes entreprises qui  ont davantage besoin du programme de mise à niveau . Il ajoute avant de conclure que  « le défi relatif à l’extension  de l’intervention du programme de mise à niveau se pose avec acuité. Et s’il se pose c’est que certainement le BMN est confronté à d’autres défis liés à sa pérennisation pour ne pas dire  son financement. » Ismaila BA

Thiaba Camara SY DG Deloitte Sénégal jette l’éponge et dépose ses valises au fond d’investissement Afig

http://www.lejecos.com Le cabinet d’audit Deloitte Sénégal se déleste de Madame Thiaba CAMARA SY. Cette dernière qui occupait jusque-là le poste de Directrice générale a pris l’option de démissionner. Sans bruits. Elle atterrit désormais chez Afig , un fonds d’investissement drivé par le sénégalais Pape Madiaw Ndiaye. Thiaba Camara SY y officiera à partir de fin septembre 2017 en qualité de Chief Operations Officer. Une grosse exclusivité de Confidentiel Afrique

Égérie du secteur audit et conseil, Mme Thiaba Camara SY, fille du très respectueux magistrat Ousmane CAMARA aux manettes de Deloitte Sénégal a jeté l’éponge. Selon des informations exclusives en possession de Confidentiel Afrique, la démission de la désormais ex DG de Deloitte Sénégal, est intervenue il y a moins de trois mois. L’information était gardée au secret. Seuls certains initiés du milieu financier dakarois étaient au parfum. Thiaba CAMARA SY atterrit au fonds d’investissement Afig drivé par Papa Madiaw NDIAYE en qualité de Chef  Exécutive des Opérations. Une grosse exclusivité de Confidentiel Afrique. Selon nos informations, la brillante Thiaba Camara SY devra prendre fonction fin septembre-début octobre 2017 chez Afig. Confidentiel Afrique bien introduit dans les milieux financiers peut révéler que la nouvelle occupante du fauteuil de DG de Deloitte Sénégal est l’experte Mme Ndeye Maguette Diouf Pouye. Une dame quitte le navire et une autre accoste.
Ancienne lauréate du Concours Général, cette grosse tête, pleine d’humanisme quitte effectivement l’univers froid et hyper normé de l’Expertise Comptable, de l’Audit et du Conseil. Elle avait intégré le Groupe Deloitte en février 2008.
Ayant ainsi garanti la croissance, le développement chez Deloitte Sénégal, Madame Thiaba CAMARA SY se tourne vers les horizons du private equity où son expertise et son expérience seront mises au service de AFIG et des entreprises dans le périmètre de son portefeuille.  ConfidentielAfrique

DES EXPERTS EN CONCLAVE À DAKAR SUR LE RÉSEAU CONTINENTAL DU TRAIN À GRANDE VITESSE

Dakar, 25 septembre (APS) – Des experts en réseau ferroviaire prennent part, depuis ce lundi à Dakar, à une réunion de deux jours sur le projet du Réseau continental de train à grande vitesse, a constaté l’APS.

‘’L’Union africaine, à travers son agenda 2063, envisage de construire une nouvelle Afrique régionalement intégrée’’, a soutenu le représentant de la Commission de l’Union africaine (UA), David Kajanga.
M. Kajanga a ajouté que ‘’ le réseau intégré de chemins de fer continental à grande vitesse est l’un des 12 projets phares de l’UA à travers son ‘’agenda de développement’’ que constitue le Nouveau partenariat pour le développement l’Afrique (NEPAD).
‘’On ne peut pas réaliser les zones de libres échanges, si les Etats membres ne sont pas connectés’’, a pour sa part déclaré le chef de la section de l’industrialisation et des infrastructures de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA), Soteri Gatera.
Il a aussi indiqué que la CEA fait de l’intégration régionale ‘un mandat’’, rappelant que le projet de réseau intercontinental intégré avait été lancé au début des indépendances.
Le conseiller spécial du NEPAD, Adama Deen, a lui souhaité que les conclusions de ces travaux puissent ‘’donner une orientation aux équipes de coordinations technique’’ des différents pays. Il a remercié les autorités sénégalaises qui ont facilité la tenue de cette réunion d’experts à Dakar, à travers l’Agence nationale des chemins de fer (ANCF) représentée par son directeur général, Abdoulaye Lo.
Ce dernier a présenté ‘’les raisons économiques’’ du Train express régional (TER), d’un coût de 568 milliards de FCFA. Selon M. Lo, le projet va participer, dans sa phase ultérieure, au ‘’désenclavement des zones à l’intérieur du pays comme la Casamance mais aussi à une exploitation à grande échelle des ressources naturelles, notamment les phosphates’’.
‘’Le premier tronçon Dakar-AIBD a été lancé. Et il sera suivi du tronçon Diamniadio- Thiès et Thiès- Tambacounda, qui sera suivi de la phase Dakar-Djibouti et qui passera par Bamako (Mali)’’, a-t-il déclaré.
Des pays ayant des ‘’expériences avérées dans le domaine ferroviaire’’ comme l’Afrique du Sud, à travers’’ Transnet’’ et le Maroc, avec sa ‘’stratégie de développement des infrastructures ’’, ont partagé leur savoir-faire avec les participants durant cette première journée.SMD/ASG

Recrudescence des cas de vol de conteneurs au Port:Les clients se plaignent, Bolloré fait la sourde oreille

http://www.dakaractu.com Le nouveau directeur général du Port autonome de Dakar va devoir redoubler de vigilance pour nettoyer les écuries d’Augias. En effet, il y a eu plusieurs cas de vol de conteneurs et délits assimilés qui ont cours dans l’infrastructure portuaire depuis quelque temps. Les brigands n’épargnent même pas les accessoires de véhicules. Pour l’heure, les victimes se contentent de formuler des plaintes qui, dans la plupart des cas, restent sans suite. Ces dernières sont très courroucées par le silence du groupe de Vincent Bolloré ; dont la responsabilité ne peut pas être complètement écartée. Ainsi, l’émission matinale Khalass qui passe sur la Rfm a mis ce lundi le curseur sur les multiples scandales, portant sur achat de voitures, qui ont cours au Port et impliquant des transitaires véreux. C’est ainsi qu’une Sénégalaise, émigrée de son état, a informé qu’un compatriote transitaire, qui devait l’assister pour régulariser les papiers afférents à l’importation de quatre voitures qu’elle a fait venir du Canada, est dans la nature avec ses 17 millions de F Cfa. Elle soutient avoir porté plainte auprès de la Division des investigations criminelles. Le hic, c’est qu’on n’arrive pas à arrêter le transitaire qui est pourtant régulièrement domicilié à Cambérène. Et pour cause, révèle la victime : « On m’a dit qu’il a creusé à l’intérieur de sa maison un trou par lequel il s’enfuit à chaque fois qu’on essaie de mettre la main sur lui ». Bizarre ? A moins qu’il ne s’agisse d’un rat aux formes humaines. C’est dire qu’il va falloir prendre des mesures draconiennes pour mettre fin à cette série de scandales.

Port autonome de Dakar : Bolloré “s’en fiche” du contrat paraphé avec l’Etat du Sénégal

http://actusen.sn bBolloré s’est dédit. Il y a de cela quatre ans, le Groupe français promettait de lâcher ses 20% de Capital au privé national sénégalais. Ce, après un contrat signé avec l’Etat du Sénégal pour l’exploitation du Terminal roulier du Port autonome de Dakar (Pad).

Face à cette situation, Libération s’interroge dans sa parution de ce lundi : “où sont passés les 20% du Capital promis au privé national?”. Une question à laquelle la société de transport logistique semble détenir szule la réponse.
Aujourd’hui plus qu’hier, le Groupe Bolloré règne sur le Pad. Après avoir racheté un de ses anciens concurrents sur le marché africain en l’occurrence, Necotrans, l’entreprise française veut s’imposer en maître incontestable des lieux.  Par ailleyrs, le journal rapporte que Bolloré veut, par la meme occasoon, licencier un important personnel issu de Necotrans.

Hommage à l’ex-président de la BAD:l’auditorium du siège d’Abidjan porterait désormais le nom Babacar Ndiaye

http://www.pressafrik.com Dans une atmosphère empreinte de forte émotion, le président de la Banque africaine de développement (BAD), Akinwumi Adesina, a ouvert la cérémonie d’hommage organisée en mémoire de feu Babacar Ndiaye au siège de l’organisation à Abidjan. M. Adesina a ainsi annoncé que l’auditorium du siège de la BAD à Abidjan porterait désormais le nom de Babacar Ndiaye.

Décédé le 13 juillet 2017 au Sénégal, Babacar Ndiaye était le 5e président élu du Groupe de la Banque, élu deux fois, entre 1985 et 1995.
En présence de la veuve du défunt, Marlyne Ndiaye, de plusieurs de ses enfants, de l’ancien président de la BAD Kantinka Kwame D. Fordwor, de membres des gouvernements sénégalais et ivoirien, de représentants du corps diplomatique à Abidjan, ainsi que de nombreux membres du personnel de la BAD (encore en activité ou à la retraite), M. Adesina a rappelé l’engagement total de feu Babacar Ndiaye au service du développement de l’Afrique.
« Babacar Ndiaye était une icône de la BAD, il était le père, le mentor de chacun d’entre nous, a lancé avec emphase le président actuel du Groupe de la Banque. Il nous a inspirés. Avec lui, l’Afrique a perdu un de ses meilleurs fils », a-t-il témoigné.
Le président Adesina a souligné les liens personnels qui l’unissaient à son prédécesseur, rappelant qu’il l’avait connu alors que lui-même travaillait pour l’Association pour le développement de la riziculture en Afrique de l’Ouest (ADRAO), basée à l’époque à Bouaké, en Côte d’Ivoire.
« Babacar Ndiaye avait un fort pouvoir d’attraction, il laisse une empreinte indélébile sur notre continent. Son héritage est immense, car il voyait toujours les choses en grand. Il était tout simplement formidable », a insisté Akinwumi Adesina.
Arrivé dans l’institution parmi les premiers cadres africains, il en a ensuite gravi les échelons pour devenir progressivement chef de division, directeur, vice-président chargé des Finances, puis président en 1985. Babacar Ndiaye a été le premier président de la BAD, reconduit à l’issue de son premier mandat.

C’est également sous son magistère que l’institution financière panafricaine a obtenu, en 1984, sa première note « triple A ».   

L’ancien président avait aussi été l’artisan de l’augmentation du capital de la banque en 1987, lequel a bondi de 6 milliards à 23 milliards de dollars EU – soit une hausse de 200 % – après avoir entériné le processus d’ouverture du capital de la Banque à des États non africains. C’est lui également qui a fait entrer la Banque sur les marchés financiers internationaux.
« Babacar Ndiaye a accompli un immense travail au service de la BAD et de l’Afrique. Il prônait toujours et partout l’excellence. Nous lui devons d’avoir érigé la BAD en une institution crédible et respectée sur la scène internationale », a déclaré Donald Kaberuka, ancien président de la BAD (2005-2015), dans un message lu en son nom par le directeur de la Communication et des relations extérieures de la BAD, Victor Oladokun.
« Apporter la lumière partout où elle manque, nourrir et éduquer les enfants, garantir l’autosuffisance alimentaire, promouvoir les peuples et les idées, redonner espoir à ceux qui l’ont perdu : tels sont les idéaux auxquels Babacar Ndiaye a consacré sa vie. Nous devons désormais travailler à concrétiser ses espérances à travers la mise en œuvre des High 5s », a déclaré Charles Boamah, premier vice-président de la BAD, en conclusion de la cérémonie, rapport APO.  Ibrahima Mansaly

Communiqué du groupe Sunu

http://www.financialafrik.com Le Groupe Sunu condamne les propos diffamatoires et mensongers de l’article du journal “La Tribune Afrique” basé au Maroc, intitulé “Panama, Iles Vierges, Luxembourg, France…Les mystérieuses pérégrinations de l’assureur panafricain Sunu” et visant à jeter le discrédit sur le leader de l’Assurance-Vie en Afrique Subsaharienne.

Ces tentatives téléguidées pour manipuler l’opinion publique ne détourneront pas notre attention face à l’intrusion par effraction du groupe marocain Saham qui n’est pas le bienvenu chez nous.
Le Groupe Sunu invite ce média à publier notre droit de réponse, qui lui a été transmis, sous peine de voir l’affaire portée devant les autorités judiciaires compétentes. Notre société sera très vigilante sur ce qui pourra être dit ou écrit sur son compte et usera de toutes les voies de droit à sa disposition en cas d’atteinte portée à son honneur et à son intégrité.Pour toute information : www.sunu-group.com

ODD:LES DÉCIDEURS INVITÉS À PRENDRE DES « ACTIONS CONCRÈTES’’

Dakar, 25 sept (APS) – Des membres de la société civile regroupés autour d’une plateforme ont appelé lundi tous les chefs d’Etat du monde à respecter leurs engagements à travers des ‘’actions concrètes’’, pour la mise en œuvre des objectifs de développement durable (ODD) de manière efficace.

Célébrant le deuxième anniversaire de l’Agenda 2030 et des ODD, lundi à Dakar, cette plateforme, à l’instar ‘’des milliers de citoyens dans plus de 107 pays et villes du monde entier, a élevé la voix pour [demander] aux dirigeants du monde de respecter les engagements pris en 2015’’, a expliqué le coordonnateur de l’organisation ‘’Global Call to Action against poverty’’ (GCAP), Oumar Sow.
Point focal de l’organisation de cette journée initiée avec d’autres organisations, Oumar Sow a relevé ‘’l’urgence pour les gouvernants de s’atteler à la réalisation des 17 objectifs pour le développement [de façon] à ne laisser personne en rade’’.

Il a exhorté les dirigeants à ‘’agir pour les ODD) et à prendre des mesures urgentes pour lutter contre la pauvreté, les inégalités et le changement climatique’’.  

‘’Nous pouvons travailler ensemble pour créer un monde meilleur et plus juste, notre futur, celui de nos enfants et de notre planète en dépendent’’, a-t-il affirmé’’.
Ainsi, pour rappeler les promesses tenues par les gouvernants de réaliser ces objectifs, ‘’de fortes mobilisations (600) sont prévues de Manille à Buenos Aires, en passant par Bruxelles, Mexico Nairobi et le Sénégal, avec des milliers de militants et de citoyens ordinaires qui vont donner de la voix pour sensibiliser les communautés sur les ODD et demander des comptes aux gouvernements’’.
C’est ainsi l’occasion de faire ‘’l’état des lieux sur l’alignement des politiques publiques par rapport aux ODD et leur impact sur les couches vulnérables’’, a rappelé le représentant de Enda Tiers monde, Louis Philipe Thomas.
Ajourd’hui, deux ans après le lancement des ODD par les Nations unies, ‘’il est impératif d’interpeller les décideurs sur l’état de mise en œuvre de toutes ces promesses sur l’élimination de l’extrême pauvreté, la mise en place de systèmes de protection sociale pour tous’’, a-t-il souligné.
Le 25 septembre 2015, les leaders du monde ont ratifié un programme transformateur durable traduisant un appel universel à l’action pour mettre fin à la pauvreté et aux inégalités, protéger la planète, et veiller à ce que tous jouissent de la paix et de la prospérité d’ici 2030.ADL/ASG

Cancer du col de l’utérus:«Chaque année,le Sénégal enregistre 875 cas»,selon la Lisca

http://www.leral.net/ b« Le cancer du col de l’utérus est un véritable problème au Sénégal. Chaque année, le Sénégal enregistre environ 875 cas. Et malheureusement, 75% de ces cas arrivent chez les spécialistes à des stades très tardifs. Au point de ne rien pouvoir faire », a révélé Dr Fatma Guénoune, président de la Ligue sénégalaise contre le cancer (LISCA).

Pour autant, cette association entend se battre pour ne plus voir cette situation. «Nous voulons voir disparaître cette maladie. C’est pourquoi, nous formons les sages-femmes », a dit Dr Guenoune. L’objectif de la Ligue sénégalaise contre le cancer du col de l’utérus, est d’étendre sa lutte dans les 78 districts sanitaires que compte le Sénégal.
Il faut dire que pour une meilleure en charge et une sensibilisation sur le cancer, la LISCA a initié depuis quelques années, des campagnes de prévention du cancer du col de l’utérus. C’est dans ce cadre que cette association était ce week-end dans le département de Rufisque, pour une formation des sages-femmes aux techniques de dépistage du cancer du col de l’utérus.
« Cette journée est importante pour la population de Rufisque parce qu’elle y adhère. Mais, l’importance, c’est la pratique parce que les sages-femmes ont été formées. Et cela leur permet de pratiquer sur les personnes sous notre contrôle. Elles vont, après la formation, continuer de faire le dépistage au niveau de leurs postes de santé », souligne Mme Guénoune. La rédaction

Le SUTSAS avertit le gouvernement : «Ce remaniement ne saurait constituer un frein à l’application des accords signés»

https://www.walf-groupe.com Le jeu de chaises au niveau du ministère de la Santé et de l’Action sociale ne peut pas être un alibi pour ranger dans les tiroirs les accords signés avec le gouvernement. C’est la mise en garde faite, hier, par le SUTSAS à l’Etat à travers une déclaration.

Le départ d’Awa Marie Coll SECK et l’arrivée d’Abdoulaye Diouf SARR au ministère de la Santé et de l’Action Sociale a fait réagir le SUTSAS. Dans une déclaration parvenue, hier, à WalfQuotidien, ce syndicat a tenu à avertir l’Etat du Sénégal concernant les accords signés avec ce dernier.
«Le Secrétariat exécutif permanent (SEP) du SUTSAS réuni à son siège, a examiné, entre autres points de l’ordre du jour, la situation socio-sanitaire du pays. Celle-ci, à la suite des élections législatives, est marquée par le récent remaniement ministériel occasionnant des départs de ministres parmi lesquels celui en charge de la Fonction publique, celui du Travail et celui de la Santé et l’Action sociale, tous, parties prenantes des accords avec le SUTSAS», débutent Mballo Dia THIAM et ses camarades dans la note. Pour ces derniers, le SUTSAS, syndicat républicain, loin de se focaliser sur les profils qui relèvent du pouvoir de nomination du président de la République, considère que la continuité de l’action gouvernementale sera consacrée et assurée par leurs remplaçants pour le mieux-être des populations. Cependant, soulignent-ils, «ce remaniement ne saurait, sous aucun prétexte, constituer un frein à l’application des accords signés, notamment ceux du 08 août 2017 dont certains points requièrent une prise en charge immédiate».
Par ailleurs, le Sutsas, rappelle son autonomie et son indépendance tout en manifestant sa disponibilité à œuvrer pour un système de santé et d’action sociale cohérent, performant, motivant et mobilisateur sans aucune compromission. C’est pourquoi, soutiennent-ils, l’option d’une politique de santé plus préventive que curative dans une logique de médecine de masse à la place d’une médecine élitiste a été le leitmotiv. «C’est le lieu, à la faveur de l’acte 3 de la décentralisation, de rappeler l’impérieuse nécessité d’ériger les Directions départementales de la santé et de l’action sociale et de réformer le district sanitaire pour mieux répondre aux exigences de l’offre», lancent-ils.
Revenant sur la Couverture maladie universelle (Cmu), Mballo Dia Thiam et Cie relèvent que cette politique, bénéfique pour les populations, risque d’être une menace réelle sur le fonctionnement des structures sanitaires à cause des retards récurrents et chroniques des remboursements, gages d’un fonctionnement optimal. «Il se pose aussi avec acuité la question de l’ancrage institutionnel de l’Agence de la Couverture maladie universelle (Acmu), si le ministère de la Santé et de l’Action sociale continue d’assurer les fonctions de vendeur (offre) et d’acheteur (demande sociale insolvable) de soins sans un financement holistique et inclusif du système», indiquent-ils. Ils affirment que la Direction des établissements de santé (Des), son érection en Direction générale, si elle ne peut devenir Agence hospitalière, s’impose, compte tenu des exigences de l’heure de la gouvernance hospitalière. Dans la même veine, poursuivent-ils, face à «l’immobilisme» de la Direction gén




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